
Présents :
Raymond Chabert, Jean Spinardi, Olivier de Villèle, et Monique Bélanger.
Ordre du jour : Polar : évaluation. Philo-Sorgues. Ciné-Philo. Conférence sur Tocqueville. Conférences pour la rentrée 2016. Assurances. Cotisations. Prochaine réunion.
Née le 7 mai 1748 de Anne Olympe MOUISSET et Pierre GOUZE, Marie GOUZE devient Olympe ( un des prénoms de sa mère ) de ( particule ajoutée parce qu'elle est, en réalité la fille d'un aristocrate, Jean-Jacques LEFRANC de CAIX, marquis de POMPIGNAN, amant de sa mère) GOUGES ( transformation volontaire de son vrai nom ). Elle choisit ce nom alors qu'elle a dix sept ans et que son mari vient de mourir. Elle en a eu un fils, Pierre.
Présents :
Raymond Chabert, Jean Spinardi, Danièle Tonon, Olivier de Villèle, et Monique Bélanger.
Ordre du jour : Programme mars et avril (annulation du 18 mars). Dernier Philo-Sorgues. Réunion au Pôle. Gantillon à la télé. TGV Pivion réglé. Adhésions. François Ost à Avignon. Conférences rentrée. Prochaine réunion.
Présents :
Raymond Chabert, Jean Spinardi, Rémy Pètre, Danièle Tonon, Olivier de Villèle, et Monique Bélanger.
Ordre du jour : Prochaines conférences 8 et 15 janvier. Polar 30 janvier. Suggestions de conférences. Déménagement. Adhésion. Prochaine réunion.
Présents :
Raymond Chabert, Jean Spinardi, Olivier de Villèle, et Monique Bélanger.
Ordre du jour :
Prochaines conférences. Polar. Invitation pour nouveau local. Nos livres anciens. Micro moustache. Photocopies. Intitulé conférence M. Henry. Adhésion. Prochaine réunion.
Présents :
Raymond Chabert, Jean Spinardi, Olivier de Villèle et Monique Bélanger.
Ordre du jour :
- Conférence du 18 septembre sur les harkis. Conférence du 2 octobre sur Jack London. Philo-Sorgues. Dominique De Sogus. Conférence du 27 mai 2016. Réservation Versepuy. Adhésion. Groupes de lecture. Local. Prochaine réunion.
Musée d'Histoire Jean Garcin : 39-45 L'Appel de la Liberté, Conseil général de Vaucluse
Le Musée d'Histoire Jean Garcin : 39-45 L'Appel de la Liberté, propriété du Conseil général de Vaucluse, s'est engagé, depuis 2011, dans un programme de recherche Indochine de Provence, le silence de la rizière, qui vise à produire de la connaissance historique sur un pan méconnu de l'histoire de notre département : les itinéraires d'exil des Indochinois en Vaucluse de 1939 à 1950.


Dès octobre 1987, à mon initiative, s’était constitué un comité pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française(1).Il était composé des membres suivants : Maryse Bouix, présidente et, par ordre alphabétique des patronymes, Martine Aberlin, Patrick Aberlin, Vincent Borreda, Odette Bracci, Huguette Bywalec, Raymond Chabert, Émilienne Corréard, Pascal Dujardin, Jacqueline et Pierre Eynaud, Mireille Fraysse, Jacqueline Nertz, Yves Poquet, Yvette Ricca, Christiane Roche, Robert Silve. Lucien Mestre, alors animateur permanent de la Maison des Jeunes, planifiait les actions de chacun.
Parmi les participants, certains choisissaient de consulter les documents d’archives municipales et départementales, d’autres faisaient appel à la mémoire véhiculée. La conceptrice de ce livre fut Maryse Bouix, nous lui devons bien des recherches aux archives départementales, la mise en page et la rédaction de nombreux chapitres.
La majorité du groupe n’avait jamais imaginé écrire pour l’histoire et, sans les connaissances de cette universitaire et sa capacité à coordonner les écrits, le résultat obtenu n’aurait pas eu cette qualité de sérieux.
Nous avions obtenu de monsieur Marin, maire de Sorgues, l’assurance d’une aide à la publication. Malheureusement, aux élections municipales de 1989, l’équipe en place fut battue. Nous comprîmes rapidement que nous ne pouvions rien attendre des nouveaux élus, d’autant plus que la personne déléguée à la culture, après nous avoir retenu pendant plusieurs jours le manuscrit, nous adressa un pli précisant que l’on pouvait dégager simplement quelques informations à l’usage des écoles maternelles.
Nous avions un défi à relever : nous avons décidé de vendre la future brochure par souscription. Nous nous sommes transformés en voyageurs de commerce et nous sommes allés démarcher auprès nos concitoyens, madame Ricca visita chaque habitant de la rue des Remparts… La réussite dépassa nos espérances : nous avions vendu sept cents exemplaires, l’impression pouvait se réaliser !
Raymond Chabert
(1)Source : "Les Études Sorguaises" – première publication – "Sorgues au temps de la Révolution" – avant-propos – 1989